Lesrègles ou menstruations douloureuses ou difficiles sont appelées dysménorrhées. Elles peuvent être : primaires, c’est-à-dire qui apparaissent au début des règles, dès l’adolescence et sont en générale sans gravité. ou secondaire, c’est-à-dire, qui apparaissent plus tardivement, au bout de plusieurs cycles normaux. Chèreriri, Nous vous remercions d’avoir partagé vos doutes avec nous. Les petites pertes au cours des jours qui suivent le transfert embryonnaire provoquent une grande inquiétude car elles sont, en général, associées à une fausse couche, mais tant qu’elles n’augmentent pas ou qu’elles ne se transforment pas en un saignement intense et continu comme celui des règles, vous Aprèsune insémination artificielle (IA) ou une fécondation in vitro (FIV) avec transfert d’embryon, il faut compter entre 9 et 14 jours avant de réaliser le test de grossesse qui vous donnera la certitude d’être enceinte ou qui vous indiquera si un nouveau cycle de procréation médicalement assistée (PMA) est à mettre Douleursdes règles après les règles Apportez une réponse à vos inquiétudes. Un groupe de médecins spécialisés répondra à vos demandes. Poser ma question. Actes relatifs. Injection de PRP intra-vaginal; FIV (Fécondation in vitro) Frottis cervico-vaginal 94réponses. Les symptomes de femme enceinte après transfert ne veulent rien dire, ils ne sont que résultats des traitement de progestérone (douleurs dans les seins,fatigue, douleurs de règles etc).J'ai eu une fiv négative et une positive et j'ai eu exactement les nTRkR3J. Bonjour Lili88,Les douleurs au niveau du bas du ventre sont assez habituelles après un transfert embryonnaire, elles peuvent être dues au traitement hormonal ou même à l’implantation. Quoi qu’il en soit, il est trop tôt pour tirer des conclusions, il faut attendre 15 jours après le transfert embryonnaire pour pouvoir réaliser un test de grossesse et savoir si ces douleurs sont dues à l’implantation, et donc si le traitement a fonctionné et si vous êtes journée et ne vous inquiétez pas ! Les dérèglements qui surviennent dans les cycles menstruels sont souvent bénins. Ils peuvent toutefois être un signe d’une perturbation plus grave. Il est donc conseillé de suivre de près son cycle en notant les dates de vos règles et de consulter en cas de CAUSES PSYCHOLOGIQUESLes règles sont soumises au fonctionnement du cerveau ainsi, un stress psychologique peut suffire à les dérégler. Des cycles très irréguliers 35, 40 ou 45 jours peuvent avoir leur origine dans un mauvais fonctionnement des ovaires. Ces dérèglements peuvent arriver une fois, sans que cela soit considéré comme pathologique. Un choc psychologique comme un traumatisme important accident, décès d’un proche, agression ou un conflit personnel, peut, par exemple, faire sauter un ABONDANTES OU MÉNORRAGIESAvoir des règles abondantes est un trouble menstruel assez répandu 25 % des femmes entre 30 et 49 ans. On appelle ménorragie, des règles qui durent plus de 7 jours avec des pertes de sang allant jusqu’à 150 ml normalement, les femmes perdent 50 à 100 ml. Ce trouble peut avoir différentes origines, telles que Un dérèglement hormonal un excès ou une insuffisance en œstrogènes peut être en développement important de l’endomètre la paroi interne de l’utérus. Lors des règles, l’endomètre est expulsé. Si l’endomètre est très développé, il est plus long à après 40 ans, des fibromes ou des polypes peuvent port d’un stérilet au cuivre…La ménorragie est souvent associée à des douleurs. Dans tous les cas, si vos règles sont régulièrement abondantes, il est conseillé de consulter votre ANARCHIQUES HYPOMÉNORRHÉE OU SPANIOMÉNORRHÉESi vos règles sont très peu abondantes ou complètement imprévisibles et irrégulières, que vos cycles durent entre 40 ou 45 jours, voire disparaissent un ou plusieurs mois d’affilée, on parle alors respectivement d’hypoménorrhée ou de règles particulièrement peu abondantes peuvent être liées à votre pilule contraceptive. Un arrêt récent de la pilule peut également provoquer un causes hormonales, comme l’hypersécrétion de prolactine, l’hormone de l’allaitement, peuvent être responsables. À forte dose, elle entraîne une perturbation de l’ovulation, puis un arrêt des déterminer précisément les causes de ces dérèglements, consultez votre DE RÈGLES OU AMÉNORRHÉEL’aménorrhée, ou l’absence de règles peut avoir pour cause la grossesse, la ménopause ou l’allaitement. Dans le cas de la ménopause, l’arrêt n’est pas brutal, mais précédé d’une période plus ou moins longue de cycles irréguliers, s’accompagnant de bouffées de chaleur et de sueurs nocturnesEn dehors de ces cas normaux, un arrêt des règles peut être provoqué par un régime alimentaire extrême, la pratique intensive d’un sport, l’obésité ou la prise de certains cas d’arrêt des règles, il est bien évidemment conseillé de faire un test de grossesse. C’est en effet la cause la plus probable d’une HORS DES RÈGLESLes saignements entre les règles peuvent être dus à l’ovulation de petites traces de sang sont visibles alors à ce moment-là. Ces saignements durent de quelques heures à quelques jours. S’ils surviennent à la suite d’un rapport sexuel, ils montrent la présence d’une légère inflammation du col, courante et pas inquiétante. Si le phénomène se répète, par contre, une consultation s’ noter le port d’un stérilet peut également provoquer des saignements qui surviennent régulièrement en dehors des règles métrorragies peuvent être bénins mais, si le phénomène se répète, il faut s’en inquiéter. Il constitue alors un signal d’alerte. Les saignements peuvent, par exemple, être le signe de l’existence d’un fibrome. Consultez votre gynécologue pour qu’il établisse un diagnostic fiable et vous conseille sur les suites à donner., de diarrhées, de nausées, voire de vomissements ;D’autres symptômes sont parfois présents migraines, douleurs articulaires, troubles veineux, gonflement et prise de poids… Ils sont très variables d’une femme à l’autre et même d’un cycle à l’autre chez la même femme. Serrer les dents pour aller travailler »Sylvia, 36 ans J'ai trente-six ans, je suis mariée et j'ai un job qui me plaît. Bref, tout semble rouler. Sauf que j'ai découvert en 2012 que j'étais atteinte d'endométriose sévère, avec une atteinte digestive. Des années de souffrances dites "normales" par les gynécologues qui ne savent pas tous détecter ce mal. J'ai découvert que j'aurai beaucoup de mal à avoir un enfant. Aujourd'hui, après une première cœlioscopie, des stimulations ovariennes puis une tentative de FIV, je me remets tout juste d'une seconde cœlioscopie et j'espère toujours être maman. Le chemin est long et semé d'épisodes éprouvants. L'impact de cette maladie sur ma vie est évidemment lourd serrer les dents pour aller travailler ou pire partir en déplacement quand j'ai mal au ventre et que je suis très fatiguée, voir mon mari impuissant face à mes douleurs, et ne pas pouvoir programmer mes sorties avec mes amies car je ne sais pas toujours dans quel état je serai la semaine suivante.... Il m'a fallu beaucoup d'énergie pour continuer à avoir un rythme de vie normal travailler, aller au restaurant en amoureux, faire de beaux et longs voyages, bref continuer à profiter de la vie. Il faut que les jeunes femmes soient sensibilisées car plus tôt le diagnostic est posé, plus grandes sont les chances de contenir la maladie. » Depuis l'âge de neuf ans, pas un seul jour sans douleur »Emeline, 37 ans Quand j'ai été opérée la première fois, j'avais quatorze ans. Un kyste avait éclaté sur mon ovaire droit, il a fallu intervenir en urgence pour une ablation. À l'époque, on ne parlait pas encore d'endométriose. Personne ne comprenait mes douleurs et mes hémorragies, les protections classiques n'étaient pas assez absorbantes et de nombreuses fois on s'est moqué de moi parce que j'étais tachée. Un calvaire ! À vingt-trois ans, alors que j'étais diagnostiquée en pré-ménopause, je suis tombée enceinte de ma fille un vrai miracle ! Après cette grossesse, tout s'est enchaîné sept opérations en cinq ans, plusieurs fausses couches, des douleurs de plus en plus insupportables c'est simple les contractions à côté, c'est peanuts !. J'ai réussi à tomber enceinte de mon deuxième enfant sans assistance, alors que nous avions commencé à faire les démarches. J'ai aujourd'hui 37 ans et je ne sais toujours pas ce qu'est un cycle normal. Même sous ménopause chimique sous pilule en continu, je fais des hémorragies et je souffre énormément. L'endométriose diagnostiquée très tardivement a atteint mes ovaires, mes trompes, mon vagin, mon utérus, ainsi qu'une partie de mon côlon et de mon intestin. Lors de ma dernière opération, j'ai passé plus de huit heures au bloc, j'ai failli ne pas me réveiller. J'ai deux fibromes et des nodules qu'il faudrait enlever, mais j'ai peur... Depuis que j’ai neuf ans, pas un seul jour sans douleur. J'aimerais tellement avoir juste une journée de "vacances", sans souffrance, sans traitement ! » Celui qui nous aime ne veut pas nous faire mal »Emmanuelle, 30 ans J'avais quinze ans lorsque ça a commencé. Et il a fallu quinze années de plus pour que le diagnostic soit enfin posé. Combien de fois me suis-je traînée en pleine nuit aux urgences pour être soulagée avec une perf ? Combien de fois ai-je été en arrêt maladie ? Jamais. Je ne peux me le permettre. Je serre les dents, la température de mon corps est très élevée, j'essaie de maîtriser mes vertiges et mes intestins me lâchent. Et tout cela, face à de nombreux interlocuteurs devant qui je me dois de faire bonne figure. Et quand je rentre, que je rejoins mon conjoint, je serre les dents une fois encore pour qu'il ne remarque pas que je suis au bout de ma vie. Mais nous nous sommes trouvés. Il connaît tout de mon combat. Il est la plus belle chose qui me soit arrivée. Et pourtant, je suis toujours la copine fatiguée qui ne rend pas visite à ses amis, celle qui reste enfermée sous une couverture chez elle le week-end, la petite amie qui ressemble plus à une coloc. Les rapports sexuels sont douloureux. Evidemment, au début de la relation, on serre les dents mais trois ans après ? Les rapports diminuent pour devenir inexistants. Car celui qui nous aime ne veut pas nous faire mal. Et vous, vous mourez de l'intérieur. Vous vous sentez handicapée. Mais ce handicap est invisible. Pour les autres. » Vous avez trop attendu, il y en a partout ! »Frédérique, 40 ans Tout a commencé le jour de mes onze ans, lors de mes toutes premières règles. Une douleur vive, intense, piquante, irradiante... Et ce sang, tout ce sang... Huit jours minimum tous les mois. Et toujours les mêmes discours "Pfff, ça va ! t'as juste tes règles, arrête un peu ton cinéma" "T'es juste fainéante, tu te cherches une excuse !" "Moi aussi j'ai mal, j'en fais pas toute une histoire ! ", etc… Une première grossesse, quelques mois de répit, de grand soulagement. Puis ça revient, plus intense encore. Je rencontre alors un gynécologue qui m’écoute attentivement, presque tendrement. Il n'y a plus de "normal", il n'y a plus de "cinéma", il n'y a plus de "fainéantise", mais un seul mot endométriose. J'ai alors trente-huit ans, il a fallu vingt-sept ans pour découvrir ce mot. C'est enfin confirmé adénomyose sévère et endométriose profonde. Utérus-trompes-ovaires-rein-vessie-côlon-rectum. Adhérences, kystes, nodules. "Vous avez trop attendu, il y en a partout !" Tristesse… On serre les dents, on est forte, on a appris à vivre avec, parfois on ne fait que survivre mais on avance, on lutte... on va gagner ! J’ai eu une hystérectomie suivie un an plus tard d'une ovariectomie. Mais il paraît que "j'ai de la chance", j'ai eu trois enfants. Pour moi, c'est trop tard mais le combat doit continuer pour les générations à venir, pour ma fille, pour mes nièces et pour toutes les autres. » J’ai arrêté l’école »Barbara, 20 ans Je suis tombée enceinte pour la première fois à l'âge de seize ans et cette grossesse s'est terminée en fausse couche. Depuis, je souffre d'énormes douleurs au niveau de l'utérus. Ayant des règles très abondantes, mon gynécologue me disait que cela était normal, que j'étais une "chochotte". J'ai continué ma scolarité, je ratais une semaine par mois de cours car j’étais clouée au lit, tordue de douleur. Puis, l'année dernière, nous avons voulu faire un enfant avec mon compagnon. C'est là que le calvaire a commencé deux fausses couches en seize mois. Mon gynécologue ne s'alarmant pas, j'ai décidé de prendre un autre avis au CHU de Montpellier, et c'est là que l'on a posé un nom sur ma souffrance. L'endométriose tapissait tous les organes jusqu'aux voies digestives d'où mes constipations, les douleurs, l'impression d'avoir des décharges électriques de l'anus à l'utérus. Ensuite, des batteries d'examens IRM, échographie, radios, prise de sang à des jours prévus du cycle. Verdict ? Endométriose sévère avec syndrome des ovaires polykystiques OPK. La première intervention chirurgicale est prévue début mars pour retirer les adhérences puis suivra une aide à la procréation stimulation ovarienne. En moyenne, une femme met sept ans à savoir quelle est atteinte de cette maladie. J'ai eu de la chance qu'au bout quatre ans on mette un nom sur mes symptômes. J'ai aujourd'hui arrêté l'école, je ne vois plus mes amies car l'entourage ne comprend pas forcément que je sois toujours très fatiguée, toujours avec des douleurs… à seulement vingt ans. » J'ai entendu "folle", "frigide", "anormale" »Jessica, 32 ans J'ai toujours eu mal au ventre depuis mes premières règles à treize ans. On m'a dit que c'était normal... Puis quand j’ai commencé à avoir des rapports quelques années plus tard, j'ai eu l'impression qu'on me déchirait de l'intérieur. Pour moi, le sexe rime avec souffrance et j'ai beau expliquer que c'est une maladie, les hommes ne comprennent pas. J'ai entendu "folle", "frigide", "anormale". A trente-deux ans, je suis toujours célibataire et sans enfants et je reçois une pression quotidienne de mon entourage et de mes médecins. "Dépêchez-vous, bientôt vous ne pourrez plus tomber enceinte... " Sauf qu'à vingt-deux, j'étais fiancée et au moment où le diagnostic est tombé, mon ami, très courageux et inquiet pour sa vie sexuelle, m'a quittée. Je n'ai jamais refait ma vie. J'ai vécu l'enfer des cœlioscopies seule, des médecins complétement démunis face à moi, limite pressés que je sorte de leur cabinet, des "amis" qui m'abandonnent parce que je suis toujours fatiguée et sur les nerfs et j'ai fait une dépression. C'est un combat de tous les jours mais ce qui m'agace le plus c'est la manière dont on nous ignore. Tout le monde me presse de faire un enfant sauf qu’en France, une femme seule n’a pas le droit à la PMA. Et je n'ai pas 5 000€ pour une PMA en Espagne. Je suis démunie et sans solution. J'ai fait une longue thérapie où il m'a fallu admettre que je ne serai peut-être jamais maman. Il m'a fallu beaucoup de temps pour apprendre à me réaliser autrement, je crois que j'ai réussi et je sais que les endogirls n'y sont pas pour rien... » Mon désir d’enfant m’a sauvé la vie »Emmanuelle, 45 ans Je n'ose dire le mot mais pourtant je vais le faire l’endométriose est une "saloperie" qui a gâché ma vie de femme. A partir de vingt ans, j'ai souffert de plus en plus au moment de mes règles. Mais je ne m’inquiétais pas puisque c'est vrai que les règles peuvent être douloureuses. Deux ans plus tard, c'est simple, je ne pouvais plus avoir de rapport sexuel et je souffrais le martyre quinze jours par mois. Les rendez-vous médicaux se sont multipliés. On m'a donné un traitement qui coupe les règles mais malheureusement pas la douleur ! Et dès que je l'arrêtais, les règles revenaient deux fois plus abondantes et bien sûr plus douloureuses. Pendant ces années, j'ai aussi essayé d'avoir un bébé. Et c'est ça, je le dis haut et fort, qui m'a sauvé la vie, sinon je pense que j’aurais fait une bêtise. Mon salut, je l'ai dû à un gynécologue qui est venu travailler dans ma ville et qui a été le seul à me parler d'endométriose. Il faut savoir que l'endométriose ne se voit qu'avec une IRM et en 2002, il m'a opérée et ôté un kyste plus gros qu'un melon. J'ai donc une sacrée cicatrice de 20 centimètres dans le vagin mais je lui dois d'être en vie. Ont suivi cinq FIV qui ont toutes échoué. Normal, vu les dégâts que l'endométriose sévère avait laissés. Depuis bientôt deux ans, j'ai un rayon de soleil qui se nomme Nina. Nous l'avons adoptée au Niger et c'est ma plus belle revanche sur cette "saloperie". » Des papillons aux ailes de rasoirs dans mon ventre »Elodie, 32 ans C'est l'histoire d'une petite fille de treize ans, toute fière de devenir une femme qui voit en quelques mois son enthousiasme entaché par des crampes de plus en plus fortes au début de cycle et des migraines. La souffrance ne cessera d’augmenter. Physique d’abord, et psychologique ensuite. Ça devient alors l'histoire d'une jeune fille qui manque ses cours au moins une semaine par mois. Ses meilleurs amis sont la bouillotte et les bains chauds, ses sorties régulières cliniques et hôpitaux. Puis c'est l'histoire d'une jeune femme qui découvre l'amour et le désir, comme autant de papillons aux ailes de rasoirs dansant dans le ventre. Elle apprend le plaisir teinté d'amertume et de chagrins d'amour. Elle se résigne à son sort, mais avance, étudie, travaille, voyage. Et un jour, au détour d'une rencontre avec un nouveau médecin, un diagnostic "endométriose" ! Cela deviendra alors l'histoire d'une femme forte de trente ans, déterminée, qui cherchera ses bonheurs au quotidien, dans l'instant présent. Elle devra abandonner plusieurs fois son travail. Elle sortira des sentiers battus qu'on lui impose pour chercher du soulagement dans des approches complémentaires ostéopathie, médecine chinoise, naturopathie... et elle en parlera pour faire connaître cette maladie. Car cette histoire c'est la mienne, celle que j'écris tous les jours, différente et semblable à celle de centaines de femmes atteintes dans leur intimité, fragiles et fières, dont le sourire cache souvent des ombres de secrets... » Ne plus passer pour une faible femme avec des douleurs imaginaires »Olivia, 35 ans Depuis mes premières règles à l'âge de douze ans, je souffre le martyre. Impossible de me lever. Je me revois recroquevillée, nauséeuse, tellement la douleur est forte, et poussant des cris. Ma mère s'est toujours sentie impuissante. Ce n'est pas faute d'avoir vu plusieurs gynécologues... Et d’avoir enchaîné des traitements contre les douleurs, mais rien ne m'a jamais calmée. Plus jeune, j’ai atterri à trois reprises aux urgences. Les médecins hommes riaient aux éclats en me disant "Mais mademoiselle, ce n'est rien, c'est normal…" ou "Encore une qui vient pour son pseudo mal au ventre" j'ai failli leur mettre mon poing dans la figure. Je vous assure que ces douleurs sont horribles. Ayant eu la chance par la suite d'avoir un enfant, l'accouchement à côté, ce n'est rien ! Plus jeune, je manquais chaque mois un jour d'école puis plus tard le travail. Délicat d'expliquer la situation à des patrons. Bref, il a fallu attendre qu’un kyste endométriosique fasse son apparition à mes 30 ans pour qu'on décèle que je souffre d'endométriose stade 4. J'ai réussi, après deux fausses couches, à tomber enceinte mais j'ai dû passer par le difficile passage de la FIV. Depuis mon accouchement en mars 2014, mes règles sont moins douloureuses. Mon gynécologue m'a expliqué que cela arrivait de temps en temps. C'est vraiment important que cette maladie soit reconnue. Surtout pour être comprise et ne plus passer pour des faibles femmes avec des douleurs imaginaires c'est très frustrant ! » Ce n’est qu’à l’âge de vingt-sept ans que j’ai été diagnostiquée »Carole, 45 ans Depuis maintenant quinze ans, je ne souffre plus d’endométriose. Mais dès mes premières règles jusqu’à mon opération l’année de mes trente ans, presque chaque mois, j’ai souffert au point de m’évanouir dans le métro, chez moi, à l’école. Au point de ne plus me doucher de peur d’avoir froid en sortant et encore plus mal au ventre la semaine précédant mes règles. Au point d’être encore maintenant en panique dès que j’ai des douleurs au ventre. Au point de ne jamais me déplacer encore maintenant sans du Spasfon. Pour vous donner un ordre d’idée de la douleur ressentie alors, j’ai trouvé les contractions liées à l’accouchement très proches des spasmes des crises ! Je passais mon premier jour des règles alitée, sous des tonnes de couvertures, gavée d’antispasmodiques. Avec une serviette hygiénique normale et une de nuit collée à la suite dans ma culotte pour éviter de tacher le matelas… Ce n’est qu’à l’âge de 27 ans que j’ai été diagnostiquée. Et encore parce que j’avais des douleurs mécaniques lors des rapports sexuels. J’ai d’abord eu un traitement médicamenteux, puis des piqûres pendant six mois pour être en état de castration hormonale, avec tous les désavantages d’une ménopause artificielle comme les bouffées de chaleur notamment, avant l’opération qui a consisté à brûler les morceaux d’endomètre migrés sur les ligaments de l’utérus et dans le côlon par cœlioscopie. J’ai malgré tout pu avoir des enfants. Je serai très vigilante pour que ma fille ne vive pas ça à son tour. » nini6 Messages 1803 Enregistré le 11 juillet 2017 Mon centre de PMA 49- CHU d'Angers Titou2017 Messages 69 Enregistré le 22 mars 2017 Mon centre de PMA 75- Hôpital Bichat Paris 18 Re test + 7 jours après transfert Message non lu par Titou2017 » 10 sept. 2017 à 1001 nini6 a écrit ↑10 sept. 2017 à 0953 Bonjour Titou! Oui j'étais moi aussi très surprise! Au vu de mon taux 10 jours après transfert 224, j'estime mon taux à j+7 aux alentours de 70-75 donc normal que le test pipi réagissait. En ce qui concerne tes symptômes, ne desespere pas. Ce sont les mêmes que pour les règles donc rien n'est perdu. As-tu essayé de tester? On t'a transféré 1 ou 2 embryons? Merci ninie6, On m' a transféré 2 embryons, j'ai pas tester mais je te ments pas tu ma donner envie d'essayer Je vais réfléchir mais je pense que demain je vais essayer ...... c est 15 jrs d'attente paraissent tellement long ...... FIV 1 6 embryons Transfert lundi 04 septembre 2 embryon à J3 Prise de sang Pas de d'embryons conservè FIV 2 6 embryons 2 embryons transféré le 16 novembre à j2 Prise de sang le 28 novembre 3 embryons congelés. elli Messages 1238 Enregistré le 03 février 2017 Mon centre de PMA Gynécologue de ville Centre étranger Groupe médical IDK Re test + 7 jours après transfert Message non lu par elli » 10 sept. 2017 à 1359 nini6 a écrit ↑09 sept. 2017 à 1257 Taux aujourd'hui 454! Il y a moins de 48h entre les 2 prise de sang! Les saignements se sont calmés juste des traces quand je m'essuie et pas de douleurs... Ravie pour toi Une très belle journée "Once more into the fray. Into the last good fight I'll never know". En PMA 2014 4 Fivs , 3 Т, 1 FC FivDo Russie 26/04/18- 1T1j5 3 vitrif. Fc 2T 1j5neg 3T...11/02 2j5, prise de sang 24/02 1807 03/03 echo 2 poches 14/03 echo deux coeurs battent 01/04 echo tout va bien, 17/04 T1 deux vont bien, 17/05 16 SA 07/09 32 SA + 5j 1900 gr et 2100 gr 07/09 hospitalisation car le col s'est raccourci, bilan hépatique perturbé Mes bébès tant attendus sont nés à 35 SA . mamoune13 Messages 1000 Enregistré le 16 janvier 2017 Mon centre de PMA 69- Hôpital Femme Mère Enfant Bron Re test + 7 jours après transfert Message non lu par mamoune13 » 11 sept. 2017 à 1353 voilà je me lance, au vu des super sensations ressenti les jours suivant le transfere ,jai craqué ce matin a j5 post transfere , test urine de l aprem ayant pas fai pipi pendant des heure,et la une ligne pale!!!alors je me demande , si ovitrelle fait le samedi 2/09 ,y serait pour quelque chose 9 jours apres ,ou si mon j2 a 6 cellules transfere tot mercredi matin c est accroché? moi 40 RAS, mon homme 46 ans , teratospermie 2016 2/3 IAC echec 1 er RDV FIV 17/01/17 suivi echo a hopital de villefranche test fragmentation adn bis le 9/06 tjrs 30% = biopsie le jour J debut protocol synarel 29/07 FIV ICSI 1 ,10 OVOCYTES FECONDES MAIS 1 SEUL BRYBRY, 1J2 -reste 11 paillettes fiv icsi 2ponction 12/12,transfert 2j2 le 14/12 prise de sang le 27/12=32ui 29/1212ui/le 02/0130/41/76/125/164/191/210/238 le 19/01 perte de sang fausse couche?echo di pas geu ,doc dit grossesse non evolutive intra uterinea voir le taux du 21/01 Titou2017 Messages 69 Enregistré le 22 mars 2017 Mon centre de PMA 75- Hôpital Bichat Paris 18 Re test + 7 jours après transfert Message non lu par Titou2017 » 11 sept. 2017 à 1837 Je pense que sa doit être un vrai positif mamoune parce que moi je suis laissée tenter aujourd'hui a faire un test est négatif mon coeur est en miette ....jai eu mon transfére lundi dernier même pas une ligne parle rien du ts et j'ai pris un clearblue FIV 1 6 embryons Transfert lundi 04 septembre 2 embryon à J3 Prise de sang Pas de d'embryons conservè FIV 2 6 embryons 2 embryons transféré le 16 novembre à j2 Prise de sang le 28 novembre 3 embryons congelés. mamoune13 Messages 1000 Enregistré le 16 janvier 2017 Mon centre de PMA 69- Hôpital Femme Mère Enfant Bron Re test + 7 jours après transfert Message non lu par mamoune13 » 11 sept. 2017 à 1932 Titou2017 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1837 Je pense que sa doit être un vrai positif mamoune parce que moi je suis laissée tenter aujourd'hui a faire un test est négatif mon coeur est en miette ....j'ai eu mon transfére lundi dernier même pas une ligne parle rien du ts et j'ai pris un clearblue titou ton test est un 25 ui ou 50 ui moi 25ui et tres tres pale limite invisible , je suis a j9 post ovitrelle alors je reste mefiante moi 40 RAS, mon homme 46 ans , teratospermie 2016 2/3 IAC echec 1 er RDV FIV 17/01/17 suivi echo a hopital de villefranche test fragmentation adn bis le 9/06 tjrs 30% = biopsie le jour J debut protocol synarel 29/07 FIV ICSI 1 ,10 OVOCYTES FECONDES MAIS 1 SEUL BRYBRY, 1J2 -reste 11 paillettes fiv icsi 2ponction 12/12,transfert 2j2 le 14/12 prise de sang le 27/12=32ui 29/1212ui/le 02/0130/41/76/125/164/191/210/238 le 19/01 perte de sang fausse couche?echo di pas geu ,doc dit grossesse non evolutive intra uterinea voir le taux du 21/01 Titou2017 Messages 69 Enregistré le 22 mars 2017 Mon centre de PMA 75- Hôpital Bichat Paris 18 Re test + 7 jours après transfert Message non lu par Titou2017 » 11 sept. 2017 à 1937 mamoune13 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1932Titou2017 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1837 Je pense que sa doit être un vrai positif mamoune parce que moi je suis laissée tenter aujourd'hui a faire un test est négatif mon coeur est en miette ....j'ai eu mon transfére lundi dernier même pas une ligne parle rien du ts et j'ai pris un clearblue titou ton test est un 25 ui ou 50 ui moi 25ui et très très pale limite invisible , je suis a j9 post ovitrelle alors je reste mefiante Comment fait on pour savoir si c'est un 25 ou 50 ? C'est un clear blue avec les barres FIV 1 6 embryons Transfert lundi 04 septembre 2 embryon à J3 Prise de sang Pas de d'embryons conservè FIV 2 6 embryons 2 embryons transféré le 16 novembre à j2 Prise de sang le 28 novembre 3 embryons congelés. mamoune13 Messages 1000 Enregistré le 16 janvier 2017 Mon centre de PMA 69- Hôpital Femme Mère Enfant Bron Re test + 7 jours après transfert Message non lu par mamoune13 » 11 sept. 2017 à 1946 Titou2017 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1937mamoune13 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1932Titou2017 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1837 Je pense que sa doit être un vrai positif mamoune parce que moi je suis laissée tenter aujourd'hui a faire un test est négatif mon coeur est en miette ....j'ai eu mon transfére lundi dernier même pas une ligne parle rien du ts et j'ai pris un clearblue titou ton test est un 25 ui ou 50 ui moi 25ui et très très pale limite invisible , je suis a j9 post ovitrelle alors je reste mefiante Comment fait on pour savoir si c'est un 25 ou 50 ? C'est un clear blue avec les barres normalement c est ecri sur la boite, et tu la fai a quelleheure? moi 40 RAS, mon homme 46 ans , teratospermie 2016 2/3 IAC echec 1 er RDV FIV 17/01/17 suivi echo a hopital de villefranche test fragmentation adn bis le 9/06 tjrs 30% = biopsie le jour J debut protocol synarel 29/07 FIV ICSI 1 ,10 OVOCYTES FECONDES MAIS 1 SEUL BRYBRY, 1J2 -reste 11 paillettes fiv icsi 2ponction 12/12,transfert 2j2 le 14/12 prise de sang le 27/12=32ui 29/1212ui/le 02/0130/41/76/125/164/191/210/238 le 19/01 perte de sang fausse couche?echo di pas geu ,doc dit grossesse non evolutive intra uterinea voir le taux du 21/01 mamoune13 Messages 1000 Enregistré le 16 janvier 2017 Mon centre de PMA 69- Hôpital Femme Mère Enfant Bron Re test + 7 jours après transfert Message non lu par mamoune13 » 11 sept. 2017 à 1956 moi 40 RAS, mon homme 46 ans , teratospermie 2016 2/3 IAC echec 1 er RDV FIV 17/01/17 suivi echo a hopital de villefranche test fragmentation adn bis le 9/06 tjrs 30% = biopsie le jour J debut protocol synarel 29/07 FIV ICSI 1 ,10 OVOCYTES FECONDES MAIS 1 SEUL BRYBRY, 1J2 -reste 11 paillettes fiv icsi 2ponction 12/12,transfert 2j2 le 14/12 prise de sang le 27/12=32ui 29/1212ui/le 02/0130/41/76/125/164/191/210/238 le 19/01 perte de sang fausse couche?echo di pas geu ,doc dit grossesse non evolutive intra uterinea voir le taux du 21/01 nini6 Messages 1803 Enregistré le 11 juillet 2017 Mon centre de PMA 49- CHU d'Angers Qu’elle soit gynécologique, digestive ou organique, la douleur provoquée par des maux de ventre doit vous alerter si elle persiste et est intense. Il est alors nécessaire d’en parler à votre médecin qui, outre la palpation de l’abdomen, préconisera des examens complémentaires afin d’en connaître l’origine et de proposer le traitement mal de ventre peut avoir différentes origines et doit être pris au sérieux si les symptômes persistent. Au moindre doute, consultez votre médecin. En attendant, voici 7 signes à ne pas prendre à la brûlures d’estomac Vous avez des remontrées acides dans l’œsophage ? Cette sensation de brûlure est due aux sucs gastriques de l’estomac et s’appelle le reflux gastro-œsophagien. Il peut s’agir d’une hernie hiatale mais aussi d’un ulcère provoqué par une bactérie l’Helicobacter bactérie H. Pylori est capable de survivre à l’acidité de l’œsophage. Elle envahit la couche de mucus qui protège normalement l’estomac et l’intestin grêle de l’acidité et perturbe alors ce mécanisme protecteur. Dans les pays industrialisés, 20% des personnes de 40 ans et moins et 50% des plus de 60 ans ont cette bactérie dans leur tube de diarrhée et de constipation Si vous avez l’impression que vos intestins font n’importe quoi et que votre transit n’est pas normal avec des phases de constipation et des phases de diarrhée en alternance, il peut s’agir du syndrome de l’intestin causes sont mal connues et il n’existe pas de moyen de prévenir son apparition. Il est néanmoins conseillé de changer ses habitudes alimentaires et d’apprendre à mieux gérer son stress. Les femmes seraient 2 à 3 fois plus nombreuses à souffrir du syndrome de l’intestin irritable que les crampes abdominales avec des intervalles de 5 à 15 minutes En cas de crampes abdominales assez intenses, se produisant à intervalles de 5 à 15 minutes, il peut s’agir d’une occlusion intestinale. Elles sont en général accompagnées de nausées ou de vomissement et de passage à l’hôpital est alors obligatoire pour pouvoir insérer au malade un tube nasogastrique qui part du nez jusque dans l’estomac. Il permet de faire sortir les gaz et les fluides en excès et de réduire la pression sur l’intestin. L’alimentation se fait alors par intraveineuse pour contourner le système sensation de pesanteur ou de ballonnement L’impression d’avoir un ventre gonflé et la sensation de pesanteur s’appelle dyspepsie. Elle peut aussi s’accompagner de rôts et de douleurs survenant pendant ou après les repas. En général, ces troubles digestifs parfois qualifiés de crise de foie » sont provoqués par une mauvaise alimentation, des repas trop copieux avec des aliments gras, sucrés accompagnés d’ vaut donc éviter de faire des excès et manger plus léger. Certains médicaments appelés cholagogues » et cholérétiques » pourront vous soulager en augmentant votre sécrétion de bile. Enfin, plusieurs plantes, comme l’artichaut ou la menthe poivrée, facilitent la à droite Une douleur à droite du ventre n’est pas à prendre à la légère surtout si elle s’accompagne de fièvre, de nausées ou de vomissements il peut s’agir d’une crise d’appendicite, une inflammation de l’ cas de doute, direction l’hôpital pour pratiquer une intervention chirurgicale en urgence l’appendicectomie. Cette prise en charge doit s’effectuer rapidement car l’appendicite peut conduire à de graves complications telles qu’une péritonite ou une septicémie. Arrêt du transit Alors que certaines personnes vont à la selle deux fois par jour, d’autres n’y vont que tous les deux jours. Quel que soit votre cas, l’essentiel est d’avoir des selles régulières. Si malgré une alimentation habituelle vous vous retrouvez constipé et que cela devient douloureux, mieux vaut peut en effet s’agir d’un fécalome, un bouchon de matières fécales qui peut s’accompagner de fausses diarrhées. Il est alors nécessaire de prendre en charge le malade pour lui enlever ce fécalome et lui éviter une péritonite par perforation et rapports sexuels douloureux Pour certaines femmes, la période des règles est tellement intense qu’elles se retrouvent clouées au lit. Elles ressentent en effet des douleurs au bas-ventre qui s’étendent parfois jusqu’au bas du dos. Cette dysménorrhée invalidante peut-être le symptôme de l’endométriose, une maladie qui entraîne des kystes ovariens. Souvent méconnue, l’endométriose nécessite la consultation d’un gynécologue. En effet, plus la maladie est diagnostiquée tôt, mieux elle est traitée et permet de réduire les risques d’ article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi

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