NĂ©de pĂšre inconnu, Marcel Lucien Edouard Ducros est nĂ© le 21 septembre 1888 Ă  Toulouse en France il porte le nom de sa mĂšre Camille Julie Ducros. Sa mĂšre une parisienne se marie le 23 mai 1891 avec Jules Étienne Barou et lĂ©gitime le petit Marcel Lucien qui s'appelle dorĂ©navant Barou. Ses parents sont commerçants, une voie toute tracĂ©e pour le gamin de reprendre le LepĂšre, c’était Lucien, le fils, c’était Sacha; Sang de __ : insulte dans le monde de Harry Potter; Il peut ĂȘtre de transport, de caisse ou gagnant; AprĂšs avoir terminĂ© cette grille, vous pouvez continuer Ă  jouer sans stress en visitant ce sujet :CodyCross Groupe 85 Grille 4. Si vous avez des remarques alors vous pouvez laisser un Choixdifficile.En 2002, Lucien, le pĂšre de Franck Dubosc atteint de la maladie de Charcot, a fait le choix d'ĂȘtre euthanasiĂ© comme l'a expliquĂ© Nathalie Levy dans En ApartĂ©. "Un jour, votre maman vous a appelĂ© et vous a dit :'Papa meurt mardi, es-tu d'accord ?'", a racontĂ© la journaliste."Il fallait que je donne mon accord ()Il avait besoin de mon accord, c'est trĂšs 162Likes, 8 Comments - malo (@malaurymlg) on Instagram: “C'Ă©tait Ă©crit  Tu vas ĂȘtre le pĂšre de mon fils et j'en suis tellement fiĂšre. Je t'aime du plus” Lucienet Sacha Guitry, deux monstres sacrĂ©s du théùtre. Le pĂšre, Lucien, haut en couleurs, coureur de jupons patentĂ©, Sacha, le fils, crĂ©ateur de nombreuses piĂšces, dont le nom est associĂ© Ă  un humour mordant et misogyne. Leurs relations seront aussi passionnĂ©es qu'orageuses, leurs destins profondĂ©ment distincts et intimement liĂ©s. JcLtgEJ. Sacha Guitry aimait les femmes, Ă  sa maniĂšre. Mais ce natif de Saint-Petersbourg entretenait une relation particuliĂšre avec Paris. Françis Huster, l'un de ses plus fidĂšles admirateurs, le raconte au JDD. Paris Ă©tait "sa maĂźtresse", dans la profession, ne semble mieux connaĂźtre Guitry que Francis Huster CrĂ©dit de la photo Carlos Munoz YagĂŒe pour le JDDC'est l'un des plus grands projets de sa carriĂšre. "Un tournant dans ma vie", avoue-t-il, enthousiaste. Le 14 janvier prochain, Francis Huster commencera Ă  filmer le remake de Umberto D, le chef-d'oeuvre nĂ©orĂ©aliste de Vittorio De Sica. Un film monstre pour lequel il s'apprĂȘte Ă  diriger plus d'une cinquantaine de comĂ©diens. Parmi eux, Jean-Paul Belmondo, qui signera lĂ  son grand retour Ă  l'Ă©cran. C'est peu de dire qu'Huster manque de temps. Hier en repĂ©rage, aujourd'hui en rendez-vous avec ses acteurs. Demain, camĂ©ra Ă  la main. Il a pourtant rĂ©pondu prĂ©sent dĂšs qu'il s'est agi d'Ă©voquer Sacha Guitry 1885-1957. Ces deux-lĂ  ne se sont bien sĂ»r jamais trouvĂ©s en prĂ©sence l'un de l'autre. Et pourtant, nul, dans la profession, ne semble mieux connaĂźtre Guitry que Francis Huster. "Je l'ai rencontrĂ© trois fois, confie-t-il. A la tĂ©lĂ©vision, tout d'abord oĂč ses films ont bercĂ© mon enfance. Et j'ai Ă©tĂ© bouleversĂ© parla puissance de ce monstre sacrĂ© qui portait en lui une Ă©poque disparue." Arletty, avec laquelle Huster - une fois adulte - passait des aprĂšs-midi entiers, lui a ensuite prĂ©sentĂ© l'homme. "Avec elle, j'ai dĂ©couvert Sacha l'insolent, le libertin, le rĂ©voltĂ©, mais aussi le fils Ă  jamais orphelin de Lucien Guitry." Enfin, François Truffaut lui a rĂ©vĂ©lĂ© le cinĂ©aste extraordinaire qu'il Ă©tait. Depuis, Francis Huster a multipliĂ© les occasions de retrouver son hĂ©ros. Il lui a consacrĂ© un ouvrage, mis en scĂšne et jouĂ© plusieurs de ses piĂšces."La France Ă©tait sa femme. La Ville LumiĂšre, sa maĂźtresse"Aussi faut-il prendre le temps de l'Ă©couter Ă©voquer Guitry. Sa voix, chaude, fougueuse, si particuliĂšre, charrie toute l'histoire du théùtre pour raconter - au final - Paris dans ce que la ville a de plus beau. Ou de plus odieux. Au fil de cette balade, le comĂ©dien ravive la Belle Epoque, rallume la flamme des AnnĂ©es folles, se cabre pour Ă©voquer l'Ă©puration. "Sans Paris, il n'y a pas de Sacha ", prĂ©cise-t-il. "La France Ă©tait sa femme. La Ville LumiĂšre, sa maĂźtresse. Ils entretenaient une relation saisonniĂšre. Et comme toujours entre deux amants, il s'est lassĂ© et elle a fini par le tromper. "Une liaison exceptionnellement retracĂ©e par Francis Huster, avec une force vibrante et une passion Allais et Renard au 26, place VendĂŽme"NĂ© Ă  Saint-PĂ©tersbourg en 1885, Sacha est arrivĂ© en France avec sa mĂšre lorsque ses parents se sont sĂ©parĂ©s en 1889. Cela n'a pas empĂȘchĂ© son pĂšre, Lucien, de le kidnapper pour le ramener avec lui en Russie en 1890. De retour Ă  Paris un an plus tard, ce dernier s'installe au 26 de la place VendĂŽme oĂč Sacha passe une partie de son enfance entourĂ© d'Alphonse Allais, de Feydeau, de Jules Renard ou de Tristan Bernard, les amis de son pĂšre. Tous lui ont transmis un sens de l'humour juif, une certaine forme de distanciation face aux Ă©vĂ©nements les plus durs. C'est probablement ce qui lui a permis de tenir pendant l'Ă©puration. Si Lucien Guitry Ă©tait considĂ©rĂ© comme le plus grand acteur de son temps, Sacha n'a pas Ă©tĂ© un fils Ă  papa pour autant. Au contraire. Lucien portait si haut le flambeau du théùtre qu'il n'a jamais osĂ© aller sur le mĂȘme territoire que lui. Du coup, il a Ă©tĂ© amputĂ© de tous les grands rĂŽles du classique. Cela lui a coĂ»tĂ© dix ans de sa vie. Et lorsqu'il s'est brouillĂ© avec son pĂšre, il a dĂ» repartir de zĂ©ro. Mais c'est probablement ce qui lui a sauvĂ© la vie."Le 26 de la place VendĂŽme est aujourd'hui occupĂ© par des mariage Ă  la mairie du 16e"Sacha a Ă©pousĂ© Yvonne Printemps Ă  la mairie du 16e. Cette derniĂšre a beaucoup fait pour le rabibocher avec son pĂšre. Les deux hommes s'Ă©taient fĂąchĂ©s Ă  cause d'une femme Charlotte LysĂšs, qui avait d'abord eu Lucien pour amant, avant d'Ă©pouser Sacha. Et avec quelle insolence ! Non content de convoler avec la maĂźtresse de son pĂšre, ce dernier prenait en plus Sarah Bernhardt - le tĂ©moin du mariage de ses parents -, et Feydeau - l'ami de Lucien -, pour tĂ©moins. Avec Charlotte, Sacha a Ă©pousĂ© une mĂšre ; avec Yvonne Printemps, une femme ; avec Jacqueline Delubac, une amie ; avec GeneviĂšve de SĂ©rĂ©ville, une petite fille ; avec Lana Marconi, une Ă©pouse. Mais il n'a jamais trouvĂ© la femme de sa vie. Je crois que c'Ă©tait Arletty. Elle Ă©tait probablement celle Ă  laquelle il Ă©tait le plus attachĂ©. ?J'allais pas Ă©pouser Sacha Guitry, il s'Ă©tait Ă©pousĂ© lui-mĂȘme?, me disait-elle. C'est pourtant elle qui correspondait le mieux Ă  son insolence. Leur couple a manquĂ© Ă  l'histoire du théùtre. On dit souvent que Guitry est misogyne. C'est n'importe quoi. Dans ses piĂšces, c'est l'homme qui trompe, pas la femme. Il Ă©tait fou des femmes. Elles n'ont malheureusement jamais Ă©tĂ© folles de lui. Peut-ĂȘtre parce qu'il n'a jamais su les entendre, mĂȘme s'il savait leur parler."71, avenue Henri-Martin, insolence dans les théùtres privĂ©s"Sacha a dĂ©butĂ© au Théùtre Antoine. Il Ă©tait Ă  l'Edouard-VII comme chez lui. A la Madeleine, il a Ă©tĂ© trahi par Yvonne Printemps. Le Théùtre des Mathurins a, un temps, portĂ© son nom. Les VariĂ©tĂ©s ont Ă©tĂ© sa derniĂšre maison. La vraie demeure de Sacha Guitry se trouvait sur ces scĂšnes privĂ©es parisiennes oĂč il a inventĂ© le théùtre moderne. Avec lui c'en est terminĂ© des longues tirades et des textes ampoulĂ©s. Place Ă  un théùtre neuf, frais, avec de vraies rĂ©pliques portĂ©es par une rĂ©volte Ă  la MoliĂšre, une insolence Ă  la Beaumarchais, une audace Ă  la Feydeau. Ses piĂšces dĂ©cortiquent et attaquent le Paris bourgeois de son Ă©poque. Dans cent ans, je suis sĂ»r qu'on les mettra en scĂšne de façon plus Ăąpre, plus sĂšche, plus proche de la cruautĂ©. Jouer du Guitry est bien plus difficile qu'on ne le croit car il est impossible de tricher. Certes, les acteurs sont rois chez lui. Et il leur offre des rĂŽles sublimes. Mais ce ne sont pas forcĂ©ment des personnages. D'oĂč l'importance de ne pas imiter Guitry. Encore moins de s'imiter soi-mĂȘme. Les Brasseur pĂšre et fils y parviennent Ă  merveille aujourd'hui sur la scĂšne du Théùtre Edouard-VII. Tout comme Jean Piat ou Pierre Arditi."Le Théùtre Edouard-VII, 10, place Edouard-VII, 9e, prĂ©sente "Mon pĂšre avait raison", de Sacha Guitry. Mise en scĂšne de Bernard Théùtre Antoine, 218, bd de Strasbourg, Paris 10e, prĂ©sentera, Ă  compter du 25 janvier, "Le dieu du carnage", de Yasmina consĂ©cration au cinĂ©ma Le Marignan"La premiĂšre du Roman d'un tricheur a eu lieu au Marignan en septembre 1936. Un triomphe. Le cinĂ©ma reprĂ©sente pour Guitry la vengeance du cancre. PlutĂŽt que de se plier aux rĂšgles du 7e art, il les a rĂ©inventĂ©es, en inaugurant la voix off, le flash-back, la prĂ©dominance de l'auteur. Il imagine des gĂ©nĂ©riques inĂ©dits, tourne en extĂ©rieur bien avant la nouvelle vague, rĂ©ussit des cadrages Ă©poustouflants et parvient Ă  nous faire croire Ă  l'impossible. Quant Ă  sa direction d'acteurs, elle est magistrale. Beaucoup ont tournĂ© avec lui. Mais Michel Simon est Ă  mes yeux celui qui a le mieux compris son univers. Tous deux partagent une mĂȘme insolence farouche. Et une mĂȘme perversitĂ©. Il y a chez l'un comme chez l'autre un cĂŽtĂ© ?je ne suis pas ce que vous croyez?. Autant le théùtre de Guitry est profondĂ©ment ancrĂ© dans les AnnĂ©es folles, autant son cinĂ©ma est fondĂ© sur l'universel. Il est mĂȘme politique. La poison est un film gĂ©nial contre la peine de mort."CinĂ©ma Gaumont Champs-ElysĂ©es, 27, avenue des Champs-ElysĂ©es, Paris mains des rĂ©sistants, rue de Grenelle"Le 23 aoĂ»t 1944, des ?rĂ©sistants? sont venus chercher Sacha Guitry chez lui pour l'interroger Ă  la mairie du 7e avant de l'envoyer Ă  la prison de Fresnes. Tout Ă©tait parti d'un article du magazine Life dĂ©nonçant des collaborateurs auxquels il avait Ă©tĂ© inclus. Son chemin de croix s'est achevĂ© en octobre par un non-lieu. Guitry Ă©tait alors le plus grand. Comme Zidane aujourd'hui. Si la guerre Ă©clatait et que Zidane n'entrait pas en RĂ©sistance, on le lui ferait payer de la mĂȘme maniĂšre. Guitry avait pourtant Ă©tĂ© le seul Ă  refuser d'ĂȘtre jouĂ© en Allemagne. Avec Arletty, il a tout fait pour sauver Tristan Bernard et bien d'autres de la dĂ©portation avant d'ĂȘtre trahi par certains qu'il avait aidĂ©s. Certes, Jean Gabin, Claude Dauphin ou Jean Marais se sont engagĂ©s. Guitry, pour qui j'ai un profond respect, n'est pas un hĂ©ros. Juste un homme. Et il a pensĂ© que le meilleur moyen de rĂ©sister, c'Ă©tait de continuer son art. MoliĂšre, Racine et Corneille n'avaient pas fait autre chose en leur temps."Mairie du 7e, 116, rue de Grenelle, rĂŽle au 18, avenue ElysĂ©e-Reclus"Cet hĂŽtel particulier avait Ă©tĂ© construit en 1910 pour Lucien Guitry. Il y a habitĂ© jusqu'Ă  sa mort en 1925, date Ă  laquelle Sacha s'y est installĂ©. A compter de ce jour, il a jouĂ© le rĂŽle de son pĂšre, endossant le personnage de Lucien jusqu'Ă  la fin de sa vie. C'est ce dernier qui collectionnait les ?uvres d'art comme les maĂźtresses. C'est encore lui qui couchait avec ses partenaires, dĂ©pensait un fric considĂ©rable quitte Ă  se couvrir de dettes. Jouant ce rĂŽle-lĂ , Sacha ne pouvait ĂȘtre pĂšre lui-mĂȘme. C'est pour cela qu'il n'a jamais eu d'enfants. A mes yeux, sa vraie maison n'est pas lĂ  mais dans les théùtres privĂ©s parisiens. Ce sont des lieux sacrĂ©s."L'hĂŽtel particulier de Sacha Guitry a Ă©tĂ© dĂ©truit et remplacĂ© par un JDD papier Je vous prĂ©sente dans ce sujet les solutions du jeu CodyCross Groupe 85 Grille 3. Disponible en tĂ©lĂ©chargement libre sur iTunes et Play Store, ce jeu consiste Ă  trouver des mots Ă  partir d’un certain nombre de puzzles. Ceci est la version française qu’est sortie rĂ©cemment. Je partage l’intĂ©gralitĂ© des rĂ©ponses Ă  travers ce site. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă  trouver Ă  partir de leurs dĂ©finitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nĂ©cessitent une bonne connaissance gĂ©nĂ©rale des thĂšmes politique, littĂ©rature, mathĂ©matiques, sciences, histoire et diverses autres catĂ©gories de culture gĂ©nĂ©rale. Nous avons trouvĂ© les rĂ©ponses Ă  ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficultĂ©. Si vous cherchez des rĂ©ponses, alors vous ĂȘtes dans le bon sujet. Le jeu est divisĂ© en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposĂ©e dans l’ordre d’apparition des puzzles. CĂ©lĂšbre ville universitaire britannique Presque bouillir Etablissement oĂč l’on fait des bains de vapeur Reçue ; a rĂ©ussi un concours, obtenu un diplĂŽme Pierre fine en gĂ©nĂ©ral rouge Nom argot de Paris Petit arbre mexicain connu pour son huile Celui qui s’occupe et soigne les Ă©lĂ©phants Le pĂšre, c’était Lucien, le fils, c’était Sacha Sang de __ insulte dans le monde de Harry Potter Il peut ĂȘtre de transport, de caisse ou gagnant AprĂšs avoir terminĂ© cette grille, vous pouvez continuer Ă  jouer sans stress en visitant ce sujet CodyCross Groupe 85 Grille 4. Si vous avez des remarques alors vous pouvez laisser un commentaire Ă  la fin de ce sujet. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'Ă©nigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayĂ©s. This div height required for enabling the sticky sidebar Vous trouverez la CodyCross Cirque Groupe 85 Grille 3 Solution et RĂ©ponse . Solution CodyCross Cirque est le nouveau monde, qui a Ă©tĂ© publiĂ© ce mois-ci. Voyagez dans le temps et l’espace et apprenez l’histoire de notre planĂšte et les exploits de l’humanitĂ© dans des grilles trouverez la rĂ©ponse CodyCross Cirque Groupe 85 Grille 3 Solution et RĂ©ponse CodyCross Cirque Groupe 85 Grille 3 Solution et RĂ©ponse CĂ©lĂšbre ville universitaire britannique Presque bouillir Etablissement oĂč l’on fait des bains de vapeur Reçue ; a rĂ©ussi un concours obtenu un diplĂŽme Pierre fine en gĂ©nĂ©ral rouge Nom argot de Paris Petit arbre mexicain connu pour son huile Celui qui s’occupe et soigne les Ă©lĂ©phants Le pĂšre c’était Lucien le fils c’était Sacha Sang de __ insulte dans le monde de Harry Potter De transport de caisse ou gagnant Ici vous trouverez les rĂ©ponses pour tout le groupe CodyCross Cirque Groupe 85 Solution et RĂ©ponse. Il a dessinĂ© des publicitĂ©s pour la mode, des tableaux, des couvertures pour plus de cent livres. Grand collectionneur, il conçoit aussi des dĂ©cors et des meubles. Rencontre avec un artiste peu connu, aussi atypique que son ami Patrick Modiano. Affiche dessinĂ©e par Pierre Le-Tan 1998 Pierre Le-Tan ? Son nom ne vous dit sans doute rien, mais vous connaissez ses dessins. De fins traits noirs, des ombres hachurĂ©es, le tout rehaussĂ© d'un peu d'aquarelle. Il a dessinĂ© les couvertures de plus de cent livres en France et aux États-Unis. IllustrĂ© des publicitĂ©s pour les Galeries Lafayette, Suez, Gucci, Lanvin et mĂȘme la Jouvence de l’AbbĂ© Soury. Il a aussi imaginĂ© les drĂŽles de dĂ©cors de Quadrille, le film de ValĂ©rie Lemercier. À cela s'ajoutent des tableaux, des affiches de cinĂ©ma, deux livres conçus avec Patrick Modiano et une quinzaine d'ouvrages signĂ©s de son seul nom, texte et images. De vrais bijoux, Ă©tincelants de finesse et d'ironie. Le MusĂ©e national d'Art moderne de Madrid lui a consacrĂ© une grande rĂ©trospective il y a deux ans. Mais rien de tel en France oĂč Pierre Le-Tan reste dans l'ombre. Au point que, flairant la supercherie littĂ©raire, certains ont cru qu'il s'agissait d'une invention de Modiano, comme Ajar avec Gary ! D'autres ont pensĂ© avoir affaire Ă  un vieillard. Comment imaginer qu'un homme de moins de 80 ans consacre son temps Ă  tracer des portraits de Gide, Colette, du couturier Jacques Fath, de l'ex-empereur Bao-DaĂŻ et autres figures parfois bien oubliĂ©es ? La rumeur l'a aussi donnĂ© pour homosexuel, vu le nombre de jeunes marins, de gigolos et d'amateurs du sexe fort que l'on trouve au fil de ses dessins. Rien de tout cela, pourtant. Ce matin-lĂ , quand on sonne Ă  la porte de son appartement parisien, en face du Palais-Bourbon, c'est son dernier fils, Édouard, 3 ans, qui ouvre. Crayon en main. Le-Tan arrive dans la foulĂ©e, finissant de boutonner une chemise rayĂ©e rose, sur un pantalon de la mĂȘme couleur. Il a 56 ans, les cheveux poivre et sel. Jeune pĂšre, jeune grand-pĂšre aussi. " J'ai changĂ© de vie il y a quatre ans, dĂ©mĂ©nagĂ©, et je travaille moins ", nuance-t-il. Mais tout de mĂȘme. Un ou deux livres en gestation. Des meubles peints et des dĂ©cors Ă  inventer pour quelques particuliers fortunĂ©s. Dans l'ancien pied-Ă -terre de Jean Cocteau au Palais-Royal, il a rĂ©cemment habillĂ© l'escalier d'un vaste trompe-l'oeil, avec de faux tableaux reprĂ©sentant les amis du poĂšte Colette, le dĂ©corateur de théùtre Christian " BĂ©bĂ© " BĂ©rard, Jean Desbordes... Des traits d'une Ă©lĂ©gante sĂ©cheresse, nimbĂ©e de nostalgie. " Notre Ă©poque d'ordinateurs et de tĂ©lĂ©phones portables est quelque chose qui m'est totalement Ă©tranger, dit-il. Avec l'Ăąge, je suis de plus en plus mĂ©lancolique. Comment exprimer cela ? Tristesse... Regrets... Le temps qui passe... " Comme son ami Modiano, il laisse ses phrases en suspens. " On n'a pas forcĂ©ment des pensĂ©es trĂšs... " Une enfance bourgeoise et artistique Comme Modiano aussi, Le-Tan scrute avec sa plume ou son stylo l'Ă©poque de la jeunesse de ses parents. À la recherche peut-ĂȘtre de secrets enfouis ou du paradis perdu. Son pĂšre, Le-Pho, peintre vietnamien, fils d'un vice-roi du Tonkin, vient en Europe en 1931 pour terminer ses Ă©tudes aux Beaux-Arts et visiter les musĂ©es. Il s'y installe dĂ©finitivement en 1937 et Ă©pouse aprĂšs la guerre la fille d'un officier français. NĂ©s dans les annĂ©es qui suivent, Pierre Le-Tan et son frĂšre vivent une enfance bourgeoise et artistique rue de Vaugirard, Ă  Paris. " J'Ă©tais un garçon un peu bizarre, qui prĂ©fĂ©rait les musĂ©es et les antiquaires au foot, se souvient-il. Je regardais mon pĂšre peindre. En guise de jouets, il me donnait des cartes postales de tableaux ou d'estampes japonaises, ainsi que de vieux livres chinois ou japonais. C'est en regardant tout cela que j'ai appris Ă  dessiner. J'ai Ă©tĂ© imbibĂ©. TrĂšs tĂŽt, j'ai su que, pour moi, c'Ă©tait cela et pas autre chose le dessin, et les objets d'arts. " Le dessin, avant tout. À 17 ans, sur les conseils d'un ami de sa mĂšre, amĂ©ricain, il envoie ses premiĂšres vignettes au New Yorker. Le prestigieux magazine de l'intelligentsia amĂ©ricaine en retient quelques-unes avant de publier deux couvertures de Le-Tan. " J'avais dix-neuf ans, j'habitais encore chez mes parents et je n'ai mĂȘme pas pensĂ© Ă  toucher les chĂšques... " C'est le dĂ©marrage en fanfare d'une jolie carriĂšre amĂ©ricaine. Tout en habitant Paris, il collabore rĂ©guliĂšrement au New Yorker et prend pour agent Ted Riley, qui reprĂ©sente Ă©galement SempĂ© et Steinberg. Il alimente ainsi en dessins les Ă©diteurs, journaux et magazines d'outre-Atlantique, du New York Times Ă  Vogue en passant par Fortune. Il publie aussi sur place plusieurs albums pour enfants et commence Ă  crĂ©er des couvertures de livres pour les recueils d'anecdotes de son ami John Train, auteur notamment de Famous Financial Fiascos. De nombreuses suivront, pour Marcel AymĂ©, Mario Soldati, Harry Mathews, Peter Carey, Raymond Carver... et, bien sĂ»r, Patrick Modiano. Couverture dessinĂ©e par Pierre Le-Tan Leur rencontre date de 1978. Une histoire Ă©tonnante. " J'ai dĂ©couvert ses livres, il y avait des ambiances qui me touchaient", raconte Le-Tan. Et pour cause... Car quand il en parle Ă  son pĂšre, celui-ci lui rĂ©pond " Modiano ? Mais oui, j'ai trĂšs bien connu ses parents Ă  Paris, pendant la guerre... Nous nous frĂ©quentions. " Les familles s'Ă©taient ensuite perdues de vue. Autant dire que lorsque Pierre Le-Tan prend contact avec le jeune Ă©crivain, ils sont en terrain de connaissance. Dans Memory Lane, le premier livre qu'ils concoctent ensemble, ils mettent en scĂšne une galerie de personnages mais aussi de lieux qui ont hantĂ© leurs enfances. Le Corner Bar, boulevard Malesherbes. Une villa au cap d'Antibes. La façade lĂ©zardĂ©e d'un bottier de luxe... " Je sentais que tout cela allait disparaĂźtre et qu'il fallait le fixer ", explique Le-Tan. Un bon rĂ©sumĂ© de son travail, qui rappelle souvent celui de SempĂ©. Nostalgique, il sait aussi se Un sac Le-Tan montrer fĂ©roce. Un exemple ? Les Lettres de Marik Loisy Aubier. Un pastiche qui rĂ©unit les Ă©crits " les plus Ă©mouvants " d'un hypothĂ©tique grand homme " qui marqua profondĂ©ment tant d'Ă©minents esprits de sa gĂ©nĂ©ration ". C'est du moins ce qu'affirme la prĂ©face. Car les neuf courtes missives qui suivent se rĂ©vĂšlent plus banales les unes que les autres. Comme celle-ci, adressĂ©e " Ă  Monsieur et madame Congre " " Nous passons d'excellentes vacances Ă  Bonneville. Le temps est malheureusement maussade. Le casino est fermĂ©. Tant pis. Bien Ă  vous, Marik. " En regard de la lettre, une assez sinistre vue de la promenade du bord de mer Ă  Bonneville. MĂ©lange de tendresse et de cruautĂ© Tout Le-Tan est lĂ , qui se penche sur ses personnages "comme un entomologiste qui examine les insectes, avec un mĂ©lange de tendresse et de cruautĂ© ", confie-t-il. L'insignifiant Marik Loisy se retrouve ainsi Ă©pinglĂ© comme un papillon pĂąlot. Plusieurs ouvrages de la mĂȘme veine paraĂźtront. Paris de ma jeunesse, Épaves et dĂ©bris sur la plage... Son chef-d'oeuvre Album, un magnifique scrapbook trĂšs colorĂ© dans lequel Le-Tan rĂ©unit souvenirs de voyages, photos d'amis disparus, trĂšs jolis textes Ă©crits Ă  la main et, bien sĂ»r, des centaines de dessins, le tout dans un savant dĂ©sordre. On y croise Greta Garbo et Christian Lacroix, Marie-Laure de Noailles et Mick Jagger. On passe de Menton Ă  Macao, avec un crochet par l'Angleterre, pour visiter l'ancienne maison du photographe Cecil Beaton, avec ses extravagants meubles "nĂ©o-rococo". Au dĂ©tour d'une page, on tombe sur une " boĂźte Ă  mĂ©gots " créée par Picasso, de surprenantes chaussures en forme de pieds signĂ©es Cardin ou encore une chaise percĂ©e trouvĂ©e Ă  Versailles. Les objets, c'est l'autre passion de Pierre Le-Tan. Il a commencĂ© Ă  les collectionner Ă  7 ou 8 ans, sous les encouragements de son pĂšre. Le feu n'est toujours pas Ă©teint. " Il est capable de disparaĂźtre plusieurs jours Ă  la recherche d'un buste antique dont on lui a parlĂ© ", tĂ©moigne Patrick Modiano dans un texte qu'il a consacrĂ© Ă  son ami. Il y a dix ans, aprĂšs avoir amassĂ© plusieurs centaines d'oeuvres de BĂ©rard, Le-Tan a cĂ©dĂ© l'essentiel de sa collection nĂ©o-romantique et surrĂ©aliste chez Sotheby's, Ă  Londres. " Les gens se remettaient Ă  parler de cet artiste trĂšs oubliĂ©, et cela m'intĂ©ressait moins. Tout Ă  coup, les choses deviennent vulgaires... Aujourd'hui, j'ai le catalogue de la vente, avec des notes trĂšs bien faites, cela me suffit. " Depuis, il s'est lancĂ© dans d'autres quĂȘtes, Ă©cumant les magasins d'antiquitĂ©s et les enchĂšres Ă  la recherche de tableaux, statues et autres vestiges de l'art religieux du xvie siĂšcle. Mais oĂč caser ses nouvelles acquisitions, alors que l'appartement dĂ©borde dĂ©jĂ  de beaux livres, de gravures, de terres cuites, de bustes en marbre ? L'entretien est fini, le carnet de notes rangĂ©. Une derniĂšre question, tout de mĂȘme, sur le Vietnam, et voilĂ  Le-Tan qui devient soudain volubile. " Non, je ne suis jamais allĂ© dans ce pays. Je prĂ©fĂšre rester sur un Vietnam un peu mythique. En revanche, je me sens trĂšs asiatique. J'habite Ă  Paris, j'ai trois grands enfants juifs de nationalitĂ© britannique, un petit dernier Ă  moitiĂ© africain ; mais ĂȘtre asiatique, pour moi, c'est un fait. J'ai un physique d'Asiatique. Je me comporte comme un Asiatique, avec cette façon d'ĂȘtre, cette rĂ©serve propre aux Asiatiques. Je suis aussi asiatique dans ma façon de dessiner des choses plutĂŽt simples, avec des traits prĂ©cis, minutieux, mĂȘme quand il s'agit de reprĂ©senter le flou. " Et derriĂšre ses lunettes d'Ă©caille rondes, comme dans l'Indochine des annĂ©es trente, il plisse les yeux en souriant... Pierre Le-Tan, dessinateur asiatique ? Pourquoi pas. Il esquisse souvent des paysages trĂšs occidentaux, des avenues haussmaniennes dĂ©sertes, les quais du port de Dublin, l'enseigne d'un bar de nuit qui brille au fond d'une rue sans nom, une cour d'immeuble, un garage en banlieue. Mais Ă  chaque fois figure un petit personnage solitaire et fragile, comme un voyageur sous une ombrelle trouĂ©e. Ce promeneur mĂ©lancolique, c'est Cosnard LE JOURNAL D’ANNE FRANCK Aujourd’hui, je vais vous prĂ©senter le livre intitulĂ© Le journal d’Anne Frank » Ă©crit par la jeune auteure Anne Frank. Anne Frank est nĂ©e le 12 juin 1929 Ă  Francfort en Allemagne. Son pĂšre, Otto Frank et sa mĂšre Edith Höllander tous deux Allemands d’origine juive, avaient une autre fille Margot. Les Frank vĂ©curent Ă  Francfort jusqu’en AoĂ»t 1933, et avec l’arrivĂ©e d’Hitler au pouvoir et la montĂ©e du nazisme ils ont prĂ©fĂ©rĂ© quitter l’Allemagne pour se rĂ©fugier Ă  Amsterdam, Pays-Bas. Au dĂ©but, ce livre est basĂ© sur le journal intime d’Anne Franck. C’est Ă  la fin de la seconde guerre mondiale qu’une amie du pĂšre d’Anne Frank retrouve le journal puis le donne Ă  son pĂšre qui dĂ©cidera par la suite de le publier et qui touchera le cƓur des hommes et des femmes dans le monde entier pendant des dĂ©cennies. L’histoire Ce livre est l’histoire d’Anne Frank, jeune fille de 13 ans juive qui Ă  son anniversaire, le 12 juin 1942, reçoit un journal intime. Ce qui deviendra par la suite son confident, elle le prĂ©nomme Kitty. Elle vit alors avec ses parents et sa grande sƓur Margot tranquillement Ă  Amsterdam malgrĂ© la guerre jusqu’au moment oĂč ils comprennent qu’ils vont ĂȘtre obligĂ©s de se cacher des nazis. Ils s’installent en juillet 1942 dans une Annexe de l’immeuble 263 Prinsengracht et vĂ©curent ainsi dans la clandestinitĂ© pendant plus de 2 annĂ©es. Les personnages AprĂšs leur installation dans l’Annexe, une autre famille juive vient les rejoindre il s’agit de la famille Vaan Dan. Elle est composĂ©e du fils, Peter Van Daan, de la mĂšre et du pĂšre. Ils seront aussi rejoints par un dentiste. Anne Ă©prouvera des sentiments pour Peter et se confiera dans son journal. Pendant qu’ils sont enfermĂ©s dans l’Annexe, ils sont Ă©paulĂ©s par des protecteurs, par exemple le pĂšre d’Anne qui est le gĂ©rant d’une sociĂ©tĂ© de conservateur pour confitures, est aidĂ© par ses comptables non juifs ils font les courses rĂ©cupĂšrent des informations pour savoir s’ils sont en danger ou non. Ils mettent aussi en place un leurre ils font croire aux gens que la famille est partie en Suisse. Tout se passa bien jusqu’à ce que les protecteurs disparaissent, l’un d’entre eux souffre d’un cancer et va mourir. Un autre protecteur s’est fait renversĂ© par la moto d’un SS et l’autre est bien malade. Petit Ă  petit, ils voyaient les juifs perdre leurs droits pas de bus, pas de voiture, pas de travail, pas de vĂ©lo et ils devaient porter une Ă©toile jaune sur leurs vĂȘtements pour les distinguer. En AoĂ»t 1944, les services secrets allemands dĂ©barquent dans l’Annexe et emmĂšnent les refugiĂ©s. Ils leurs font d’abord croire qu’ils vont allez habiter dans les pays de l’Est mais tout le monde savait qu’ils mentaient, on parlait alors de camps de travail nazis. Anne et sa famille sont capturĂ©s le 4 aout 1944 sur dĂ©nonciation puis dĂ©portĂ©s Ă  Auschwitz Birkenau puis Ă  Bergen Belsen. Le passage que j’ai choisi se situe Ă  la fin du livre page 326 ChĂšre Kitty, A prĂ©sent, je suis pleine d’espoir, enfin tout va bien. Tout va mĂȘme trĂšs bien ! Superbes nouvelles ! On a tentĂ© d’assassiner Hitler, et pour une fois il ne s’agit pas de communistes juifs ou de capitalistes anglais mais d’un gĂ©nĂ©ral allemand de haute lignĂ©e germanique, un comte qui en plus est encore jeune. La Providence divine a sauvĂ© la vie du FĂŒhrer et, malheureusement, il s’en est tirĂ© avec seulement quelques Ă©gratignures et des brĂ»lures. Plusieurs officiers et gĂ©nĂ©raux de son entourage immĂ©diat ont Ă©tĂ© tuĂ©s ou blessĂ©s. Le principal auteur de l’attentat a Ă©tĂ© fusillĂ©. VoilĂ  tout de mĂȘme la meilleure preuve que de nombreux officiers et gĂ©nĂ©raux ont en assez de la guerre et aimeraient voir Hitler sombrer aux oubliettes afin de prendre la tĂȘte d’une dictature militaire, et ainsi, de conclure la paix avec les AlliĂ©s, de rĂ©armer et de recommencer la guerre dans une vingtaine d’annĂ©es. » Pourquoi j’ai choisi ce passage parce qu’Anne est pleine d’espoir, elle espĂšre la fin de la guerre proche, la mort d’Hitler et la victoire des AlliĂ©s. Pourquoi j’ai choisi ce livre J’ai dĂ©couvert ce livre, il y a 2 ans, il m’a Ă©tĂ© offert, je savais ce qu’il s’était passĂ© pendant la seconde guerre mondiale et ce livre est un parfait tĂ©moignage de cette Ă©poque. J’ai aimĂ© ce livre car l’histoire d’Anne Frank me touche particuliĂšrement, c’est l’histoire d’une adolescente comme vous et moi qui parce qu’elle est nĂ©e Ă  cette Ă©poque lĂ  et parce qu’elle est juive n’a pas pu vivre LIBRE et j’ai voulu vous faire dĂ©couvrir ce livre pour que son quotidien bouleversant ne sombre pas dans l’oubli. Merci Sacha V. 4B Novembre 2018C’est ainsi que le devoir de mĂ©moire se transmet au sein de nos Familles!Sacha a rĂ©sumĂ© la vie d’Anne Franck, lors d’un exercice oral de prĂ©sentation d’une lecture qui l’a marquĂ©, devant professeur et camarades de classe!Il a fait ce choix et nous vous faisons partager son rĂ©cit!Preuve en est que ces jeunes adolescents sont rĂ©ceptifs et qu’ils savent entendre les souffrances engendrĂ©es par les guerres! Ils sauront nous relayer! Bravo

le pÚre c était lucien le fils c était sacha